Église Saint Paul .Toulouse

Rue des Amidonniers, Toulouse - 1995

Le projet consiste en la reconversion d’un bâtiment industriel en un lieu de culte. L’ancien moulin des Amidonniers faisait partie d’un chapelet d’usines installées le long du Canalet alimenté par la Garonne.
Il abritera successivement, à partir de 1790, une filature de coton, des activités de tissage, de fonderie, de moulinage de la soie, de tournage du bois...

Le bâtiment est actuellement la propriété du Diocèse de Toulouse. Classé à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1991, il a dès lors bénéficié d’un programme de sauvegarde.

Plusieurs objectifs ont été poursuivis à travers sa réhabilitation :
- donner une identité forte au lieu, d’où la décision de dessiner et mettre en place une grande croix sur la façade, croix réalisée en acier rouillé dit acier Corten incrustée de carrés de cuivre. Le portail d’entrée est traité dans le même choix de matériaux,
- à l’extérieur, traiter un espace d’accueil : l’intervention d’un artiste -N. Kouvaras- a permis une requalification du parvis en gradins menant de la rue au portail d’entrée,
- à l’intérieur, donner une dignité à l’espace de prière : création de vitraux faits de verre bleu-jaune et opale et d’une déclinaison géométrique sur les différents percements. Création aussi d’une mise en scène de l’autel par le biais d’un grand mur bleu percé d’une croix blanche.

Rue des Amidonniers, Toulouse - 1995

Le projet consiste en la reconversion d’un bâtiment industriel en un lieu de culte. L’ancien moulin des Amidonniers faisait partie d’un chapelet d’usines installées le long du Canalet alimenté par la Garonne.
Il abritera successivement, à partir de 1790, une filature de coton, des activités de tissage, de fonderie, de moulinage de la soie, de tournage du bois...

Le bâtiment est actuellement la propriété du Diocèse de Toulouse. Classé à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1991, il a dès lors bénéficié d’un programme de sauvegarde.

Plusieurs objectifs ont été poursuivis à travers sa réhabilitation :
- donner une identité forte au lieu, d’où la décision de dessiner et mettre en place une grande croix sur la façade, croix réalisée en acier rouillé dit acier Corten incrustée de carrés de cuivre. Le portail d’entrée est traité dans le même choix de matériaux,
- à l’extérieur, traiter un espace d’accueil : l’intervention d’un artiste -N. Kouvaras- a permis une requalification du parvis en gradins menant de la rue au portail d’entrée,
- à l’intérieur, donner une dignité à l’espace de prière : création de vitraux faits de verre bleu-jaune et opale et d’une déclinaison géométrique sur les différents percements. Création aussi d’une mise en scène de l’autel par le biais d’un grand mur bleu percé d’une croix blanche.

Rue des Amidonniers, Toulouse - 1995

Le projet consiste en la reconversion d’un bâtiment industriel en un lieu de culte. L’ancien moulin des Amidonniers faisait partie d’un chapelet d’usines installées le long du Canalet alimenté par la Garonne.
Il abritera successivement, à partir de 1790, une filature de coton, des activités de tissage, de fonderie, de moulinage de la soie, de tournage du bois...

Le bâtiment est actuellement la propriété du Diocèse de Toulouse. Classé à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1991, il a dès lors bénéficié d’un programme de sauvegarde.

Plusieurs objectifs ont été poursuivis à travers sa réhabilitation :
- donner une identité forte au lieu, d’où la décision de dessiner et mettre en place une grande croix sur la façade, croix réalisée en acier rouillé dit acier Corten incrustée de carrés de cuivre. Le portail d’entrée est traité dans le même choix de matériaux,
- à l’extérieur, traiter un espace d’accueil : l’intervention d’un artiste -N. Kouvaras- a permis une requalification du parvis en gradins menant de la rue au portail d’entrée,
- à l’intérieur, donner une dignité à l’espace de prière : création de vitraux faits de verre bleu-jaune et opale et d’une déclinaison géométrique sur les différents percements. Création aussi d’une mise en scène de l’autel par le biais d’un grand mur bleu percé d’une croix blanche.

Rue des Amidonniers, Toulouse - 1995

Le projet consiste en la reconversion d’un bâtiment industriel en un lieu de culte. L’ancien moulin des Amidonniers faisait partie d’un chapelet d’usines installées le long du Canalet alimenté par la Garonne.
Il abritera successivement, à partir de 1790, une filature de coton, des activités de tissage, de fonderie, de moulinage de la soie, de tournage du bois...

Le bâtiment est actuellement la propriété du Diocèse de Toulouse. Classé à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1991, il a dès lors bénéficié d’un programme de sauvegarde.

Plusieurs objectifs ont été poursuivis à travers sa réhabilitation :
- donner une identité forte au lieu, d’où la décision de dessiner et mettre en place une grande croix sur la façade, croix réalisée en acier rouillé dit acier Corten incrustée de carrés de cuivre. Le portail d’entrée est traité dans le même choix de matériaux,
- à l’extérieur, traiter un espace d’accueil : l’intervention d’un artiste -N. Kouvaras- a permis une requalification du parvis en gradins menant de la rue au portail d’entrée,
- à l’intérieur, donner une dignité à l’espace de prière : création de vitraux faits de verre bleu-jaune et opale et d’une déclinaison géométrique sur les différents percements. Création aussi d’une mise en scène de l’autel par le biais d’un grand mur bleu percé d’une croix blanche.

Rue des Amidonniers, Toulouse - 1995

Le projet consiste en la reconversion d’un bâtiment industriel en un lieu de culte. L’ancien moulin des Amidonniers faisait partie d’un chapelet d’usines installées le long du Canalet alimenté par la Garonne.
Il abritera successivement, à partir de 1790, une filature de coton, des activités de tissage, de fonderie, de moulinage de la soie, de tournage du bois...

Le bâtiment est actuellement la propriété du Diocèse de Toulouse. Classé à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1991, il a dès lors bénéficié d’un programme de sauvegarde.

Plusieurs objectifs ont été poursuivis à travers sa réhabilitation :
- donner une identité forte au lieu, d’où la décision de dessiner et mettre en place une grande croix sur la façade, croix réalisée en acier rouillé dit acier Corten incrustée de carrés de cuivre. Le portail d’entrée est traité dans le même choix de matériaux,
- à l’extérieur, traiter un espace d’accueil : l’intervention d’un artiste -N. Kouvaras- a permis une requalification du parvis en gradins menant de la rue au portail d’entrée,
- à l’intérieur, donner une dignité à l’espace de prière : création de vitraux faits de verre bleu-jaune et opale et d’une déclinaison géométrique sur les différents percements. Création aussi d’une mise en scène de l’autel par le biais d’un grand mur bleu percé d’une croix blanche.

Rue des Amidonniers, Toulouse - 1995

Le projet consiste en la reconversion d’un bâtiment industriel en un lieu de culte. L’ancien moulin des Amidonniers faisait partie d’un chapelet d’usines installées le long du Canalet alimenté par la Garonne.
Il abritera successivement, à partir de 1790, une filature de coton, des activités de tissage, de fonderie, de moulinage de la soie, de tournage du bois...

Le bâtiment est actuellement la propriété du Diocèse de Toulouse. Classé à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1991, il a dès lors bénéficié d’un programme de sauvegarde.

Plusieurs objectifs ont été poursuivis à travers sa réhabilitation :
- donner une identité forte au lieu, d’où la décision de dessiner et mettre en place une grande croix sur la façade, croix réalisée en acier rouillé dit acier Corten incrustée de carrés de cuivre. Le portail d’entrée est traité dans le même choix de matériaux,
- à l’extérieur, traiter un espace d’accueil : l’intervention d’un artiste -N. Kouvaras- a permis une requalification du parvis en gradins menant de la rue au portail d’entrée,
- à l’intérieur, donner une dignité à l’espace de prière : création de vitraux faits de verre bleu-jaune et opale et d’une déclinaison géométrique sur les différents percements. Création aussi d’une mise en scène de l’autel par le biais d’un grand mur bleu percé d’une croix blanche.

Rue des Amidonniers, Toulouse - 1995

Le projet consiste en la reconversion d’un bâtiment industriel en un lieu de culte. L’ancien moulin des Amidonniers faisait partie d’un chapelet d’usines installées le long du Canalet alimenté par la Garonne.
Il abritera successivement, à partir de 1790, une filature de coton, des activités de tissage, de fonderie, de moulinage de la soie, de tournage du bois...

Le bâtiment est actuellement la propriété du Diocèse de Toulouse. Classé à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1991, il a dès lors bénéficié d’un programme de sauvegarde.

Plusieurs objectifs ont été poursuivis à travers sa réhabilitation :
- donner une identité forte au lieu, d’où la décision de dessiner et mettre en place une grande croix sur la façade, croix réalisée en acier rouillé dit acier Corten incrustée de carrés de cuivre. Le portail d’entrée est traité dans le même choix de matériaux,
- à l’extérieur, traiter un espace d’accueil : l’intervention d’un artiste -N. Kouvaras- a permis une requalification du parvis en gradins menant de la rue au portail d’entrée,
- à l’intérieur, donner une dignité à l’espace de prière : création de vitraux faits de verre bleu-jaune et opale et d’une déclinaison géométrique sur les différents percements. Création aussi d’une mise en scène de l’autel par le biais d’un grand mur bleu percé d’une croix blanche.

Rue des Amidonniers, Toulouse - 1995

Le projet consiste en la reconversion d’un bâtiment industriel en un lieu de culte. L’ancien moulin des Amidonniers faisait partie d’un chapelet d’usines installées le long du Canalet alimenté par la Garonne.
Il abritera successivement, à partir de 1790, une filature de coton, des activités de tissage, de fonderie, de moulinage de la soie, de tournage du bois...

Le bâtiment est actuellement la propriété du Diocèse de Toulouse. Classé à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1991, il a dès lors bénéficié d’un programme de sauvegarde.

Plusieurs objectifs ont été poursuivis à travers sa réhabilitation :
- donner une identité forte au lieu, d’où la décision de dessiner et mettre en place une grande croix sur la façade, croix réalisée en acier rouillé dit acier Corten incrustée de carrés de cuivre. Le portail d’entrée est traité dans le même choix de matériaux,
- à l’extérieur, traiter un espace d’accueil : l’intervention d’un artiste -N. Kouvaras- a permis une requalification du parvis en gradins menant de la rue au portail d’entrée,
- à l’intérieur, donner une dignité à l’espace de prière : création de vitraux faits de verre bleu-jaune et opale et d’une déclinaison géométrique sur les différents percements. Création aussi d’une mise en scène de l’autel par le biais d’un grand mur bleu percé d’une croix blanche.

Rue des Amidonniers, Toulouse - 1995

Le projet consiste en la reconversion d’un bâtiment industriel en un lieu de culte. L’ancien moulin des Amidonniers faisait partie d’un chapelet d’usines installées le long du Canalet alimenté par la Garonne.
Il abritera successivement, à partir de 1790, une filature de coton, des activités de tissage, de fonderie, de moulinage de la soie, de tournage du bois...

Le bâtiment est actuellement la propriété du Diocèse de Toulouse. Classé à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1991, il a dès lors bénéficié d’un programme de sauvegarde.

Plusieurs objectifs ont été poursuivis à travers sa réhabilitation :
- donner une identité forte au lieu, d’où la décision de dessiner et mettre en place une grande croix sur la façade, croix réalisée en acier rouillé dit acier Corten incrustée de carrés de cuivre. Le portail d’entrée est traité dans le même choix de matériaux,
- à l’extérieur, traiter un espace d’accueil : l’intervention d’un artiste -N. Kouvaras- a permis une requalification du parvis en gradins menant de la rue au portail d’entrée,
- à l’intérieur, donner une dignité à l’espace de prière : création de vitraux faits de verre bleu-jaune et opale et d’une déclinaison géométrique sur les différents percements. Création aussi d’une mise en scène de l’autel par le biais d’un grand mur bleu percé d’une croix blanche.